La légende de Pagnan

Il est une légende, qui, dans la vallée de l’Hérault, parmi les Jonquilles, erre…la légende de Pagnan, chevalier aux plaies sans cesse saignantes, et de Gui son écuyer, à qui le remords et l’abois sierrent mal…
Quand Pagnan arbora son heaume, las de combattre, et qu’il monta sur sa barge, liesse joie et ovations l’accompagnaient !
L’abbé largua les amarres, puis, lâchée, la barge s’éloigna de la berge.
Arnaud, le troubadour jouait de la vielle à roue. Allez monte, Arnaud ! monte la gamme ! Jamais on n'entendit la gamme a ce point bien montée ! Au clavecin, André ! 200 gones, Nissartes, Parigots qui chantent et acclament !
Mon père ! Où va Pagnan, vêtu de ses oripeaux, pillant le coeur de nos épouses ? O le bel homme ! Annie, Anne et les autres ouvrent les portes de leur demeure, se tenant à l’entrée. Sans doute, elles s’imaginent y accueillir le héros…
Mais le chevalier part à la recherche de la sainte Cymbe. Aux îles de là, s’il veut, aux îles de ci, s’il peut…
Soudain, le vent démis, en soufflant, le mat de la barge.
Il ne faut pas confondre chat repu et chat bon…en effet, profitant de l’incident, Gui, l’écuyer de Pagnan, jaloux, révèle son dessein : Gui rosse son maitre.
La foule s’exclame : « assassin ! Gui, aime-le ! »
Des airs de folie, à couper un singe en deux, faucille à la main, malsain par goût, arrêtant son bras qu’une fois son forfait accompli…Gui tua son maitre.
Pagnan gisait… Il n’avait plus de pouls !
« J’ai, ma foi, bien vécu », dit-il.
« J’offre à Thanatos un pot. L’Eve a le mal de son Adam, je m’en vais la rejoindre au paradis. »
Des moines découvrirent ce texte en juin, quand Cassiopée porte en son sein saturne. Un d’eux lu scientifiquement ce poème et y trouva le nom de tous les villages de la belle vallée de l’Hérault.
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Il est une légende, qui, dans la vallée de l’Hérault, parmi les JONQUIERES…la légende de Pagnan, chevalier aux PLAISSAN cesse saignantes, et de Gui son ecuyer, à qui le remords et LA BOISSIERE mal…
CAMPAGNAN ARBORAS on AUMELAS de combattre, et qu’il monta sur sa bARGELLIERS joie et ovations l’accompagnaient !
L’aBELARGUA les amarres, PUILACHER, la barge s’éloigna de la berge.
Arnaud, le troubadour jouait de la vielle à roue. Allez MONTARNAUD ! monte la gamme ! Jamais on entendit LAGAMAS point bien montée ! Au claveSAINT ANDRE DE SANGONISartes, parigots qui chantent et acclament !
MONTPEYROUX va Pagnan, vetu de ses oriPOPIAN le coeur de nos éPOUZOLS bel homme ! ANIANE et les autre ouvrent les portes de leur demeure, se tenant à l’enTRESSAN doute, elle s’imaGIGNACeuillir le héros…
Mais le chevalier part a la recherche de la sainte SAINT BAUZILLE DE LA SYLVE, aux iles de ci, s’il peut…
Soudain, le VENDEMIAN soufflant, le mat de la barge.
Il ne faut pas confondre chat rePUECHABON…en effet, profitant de l’incident, Gui, l’ecuyer de Pagnan, jaloux, revele son desSAINT GUIRAUDsse son maitre.
La foule s’exclame : « assasSAINT GUILHEM LE
DESERT de folie, à couper un SAINT JEAN DE FOSille à la main, malSAINT PARGOIREretant son bras qu’une fois son forfait accompli…Gui tua son maitre.
Pagnan gisait… Il n’avait plus de POU-
-GET, ma foi bien vecu », dit il.
« J’offre à thanatoSAINT PAUL ET VALMALLE de son Adam, je m’en vais la rejoindre au paradis. »
Des moines decouvrirent ce texte en juin, quand cassiopée porte en son SAINT SATURNIN DE LUCIANtifiquement ce poème et y trouva le nom de tous les villages de la belle vallée de l’Hérault.

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